Aphorisme : Pour un Christ européen, œuf de Pâques ! Par John & Roy

Aphorisme : Pour un Christ européen
Jeune, il m’a manqué des bises. Comme Rodin, voyez le cou et l’oreille… Dans la jeunesse ! Sous les quinze ans et demie, monsieur Rodin, n’y suis-je point encore ? Rentrer des stades en bus (la nuit), c’est fait ! (« Tremble de froid, pauvre chacal ! » ?!) A présent, j’ai cinquante neuf ans, et je me souviens.
L’eau sans les hommes
Serait la voie royale,
Et tout le monde sait
Que les marins aiment la mer.
Mère des mers. Verte, bleue, rouge, sable.
Et qui dit sable, dit « nus pieds »
Sur la ligne de flottaison ;
Sûr. Voilà petite ; voilà petit.
Les gènes ça gène, voyez-vous ?
Personne n’a pensé à le dire,
Et on meurt quand même.
(LE SERVICE NATIONAL.)
Tati titi et titi tatu, deux animaux en rut. Un milliard deux cents millions de chinois. Si l’extrême droite passe, finie la solidarité, voyez-vous ?… JE ME SUIS BATTU. Je m’en moque des poulpes géantes ou des piranhas. Je suis resté ! « Ceci est mon corps, livré pour vous. » Ce n’est pas Allah ! (C’est le Christ !) Vous voyez bien ?
DESINTOXICATION : Contre l’intoxication au ses kebabs (il faut voir les faillites juvéniles à cause de cela), je vous recommande les canettes de cacolac !! Non, je suis sérieux ! Sincèrement, avez-vous vu le désastre ! Et bien les canettes de cacolac. Sacrés français ! (mais, pour moins drôle), quand Ozoir-la ferrière (77) est tombé, j’aurais dû me tuer, en tant que troyen.